Occurences de l'expression
te
pour HUGUES, Clovis
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TYL L'ESPIEGLE (1906)
- Le Comte_d'Heverlé, notre maître et seigneur, v.5 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Il est le Benjamin de notre châtelaine, v.7 (Acte , scène 1, ANNA)
- Et c'est lui seul qui tient sa pelote de laine. v.8 (Acte , scène 1, ANNA)
- Alors il la tient peu, je te le dis tout bas. v.9 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- J'en conviens, car au lieu de tricoter des bas. v.10 (Acte , scène 1, ANNA)
- Tyl l'accompagnerait sans doute chaque jour, v.17 (Acte , scène 1, ANNA)
- S'il était moins souvent perché sur cette tour v.18 (Acte , scène 1, ANNA)
- Jusque dans le pays où l'ombre est éternelle. v.24 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Le Comte est batailleur, querelle ses voisins, v.25 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Et traite en assiégés ses plus petits cousins. v.26 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- N'avait vu sous le ciel tant de châteaux en cendre, v.28 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Y restera longtemps, son cornet à la main. v.30 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Un rayon de soleil en tête ; v.37 (Acte , scène 2, TYL)
- La sainte gaîté, c'est ma fête. v.39 (Acte , scène 2, TYL)
- Que de faire éternellement v.54 (Acte , scène 2, TYL)
- Êtes-vous enragé ? v.56 (Acte , scène 2, TYL)
- Êtes-vous enragé ? v.61 (Acte , scène 2, NICOLAS)
- Arrêtez, arrêtez. v.76 (Acte , scène 2, NICOLAS)
- Que Tyl, ce pauvre diable englué sur la terre ; v.90 (Acte , scène 2, TYL)
- Oh ! Ne vous fiez pas à tout ce que l'on conte ! v.97 (Acte , scène 2, TYL)
- Les tours que d'autres font, on les met à mon compte ! v.98 (Acte , scène 2, TYL)
- Le comte avec ses gens arrive dans ces lieux. v.100 (Acte , scène 2, TYL)
- Mon fils, c'est le moment, puisque le Comte est là. v.114 (Acte , scène 3, NICOLAS)
- Même lorsqu'il se prétend sage, v.116 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
- Il a tout juste la raison v.117 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
- C'est injuste ! Il n'a pas dit un seul mot. v.121 (Acte , scène 3, NICOLAS)
- Vous faisiez certain geste avec le bout des doigts. v.133 (Acte , scène 3, NICOLAS)
- Même quand il se prétend sage, v.134 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
- Il a tout juste la raison v.135 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
- Dans votre vieux château voltige dès l'aurore ? v.144 (Acte , scène 3, TYL)
- Berner ma seigneurie ! A-t-on rien vu de tel ? v.149 (Acte , scène 4, TYL)
- Voici mon bon plaisir : je veux, moi, châtelaine, v.151 (Acte , scène 4, LA COMTESSE)
- Qu'on l'écoute, dût-il parler une semaine. v.152 (Acte , scène 4, LA COMTESSE)
- Vous avez entendu comme elle l'a nommé. v.154 (Acte , scène 4, ANNA)
- L'attention qu'elle a pour notre Tyl me flatte. v.155 (Acte , scène 4, NICOLAS)
- La comtesse le gâte. v.156 (Acte , scène 4, LE COMTE)
- De chanter, de danser, de rire jusqu'aux larmes, v.159 (Acte , scène 4, TYL)
- Qu'il porte mal sa toque et qu'il a le nez rouge. v.168 (Acte , scène 4, TYL)
- Autorisez-moi, Comte, à lui jeter mon gant ! v.170 (Acte , scène 4, TYL)
- Si jamais je l'accoste !... v.171 (Acte , scène 4, VAN BOCK)
- Maintenant, compagnons, tout le monde à son poste ! v.172 (Acte , scène 4, LE COMTE)
- À cette heure ton poste est sur la tour. v.174 (Acte , scène 4, LE COMTE)
- J'ai terriblement faim. v.177 (Acte , scène 4, TYL)
- Ce dîner pour moi seul. Le beau gâteau doré ! v.182 (Acte , scène 4, TYL)
- Vous allez cette fois faire une farce en règle ! v.184 (Acte , scène 4, TYL)
- Sérieux maintenant... v.186 (Acte , scène 4, NICOLAS)
- Et contente toujours les maîtres du château. v.189 (Acte , scène 4, ANNA)
- C'est un bien beau gâteau ! v.190 (Acte , scène 4, TYL)
- Buvons à la châtelaine v.191 (Acte , scène 5, TOUS)
- J'aime les grands étendards v.196 (Acte , scène 5, LA COMTESSE)
- Qui flottent dans la lumière v.197 (Acte , scène 5, LA COMTESSE)
- Sur la crête des remparts. v.198 (Acte , scène 5, LA COMTESSE)
- Buvons à la châtelaine v.199 (Acte , scène 5, TOUS)
- Où le fer heurte le fer ! v.206 (Acte , scène 5, LA COMTESSE)
- Buvons à la châtelaine v.207 (Acte , scène 5, TOUS)
- Nous ne voulons, châtelaine, v.215 (Acte , scène 5, TOUS)
- Quoi ! Berner de la sorte un intendant du comte ! v.223 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Quoi ! M'avoir attaché par l'habit, quelle honte ! v.224 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Ah ! Si je le tenais, je lui tordrais le cou v.226 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- A quels beaux traitements s'exposent les espiègles. v.228 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Impossible ! Je suis vissé sur cette chaise. v.231 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je jure qu'il sera châtié celte fois v.233 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je le corrigerai devant tout le château ! v.237 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Un Van Bock ! Mon grand-père était dans ce castel v.241 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Intendant de la coupe et pourvoyeur du sel ; v.242 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Mon père avec des ducs chassait à l'arbalète. v.243 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je suis déshonoré, ma disgrâce est complète, v.244 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Que d'être à cette chaise attaché de la sorte. v.247 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Comme ce noeud est dur ! Que le diable t'emporte, v.248 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je suis un intendant honnête ; je me nomme v.255 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Sainte-Vierge ! v.259 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je suis mal disposé. Tu vois cette flamberge.. v.260 (Acte , scène 6, TYL)
- Eh bien ! Je te la mets v.261 (Acte , scène 6, TYL)
- Tu m'interromps, je crois. v.264 (Acte , scène 6, TYL)
- Ah çà ! Maître intendant, que fais-tu donc ici, v.266 (Acte , scène 6, TYL)
- À la manière antique attendrais-tu la mort ? v.269 (Acte , scène 6, TYL)
- Je te l'expliquerais au moyen de l'outil v.281 (Acte , scène 6, TYL)
- Je veux que l'on m'appelle Altesse. v.284 (Acte , scène 6, TYL)
- Mais, Altesse ! Je n'ai rien dit. Tyl est charmant. v.285 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Mon Altesse... v.288 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Où sont-elles ? J'attends depuis plus d'un quart_d_heure. v.291 (Acte , scène 6, TYL)
- Je vais te servir de ton plat. v.293 (Acte , scène 6, TYL)
- Écoute. Je consens à t'épargner, ma foi, v.297 (Acte , scène 6, TYL)
- De ne pas te venger de Tyl. v.299 (Acte , scène 6, TYL)
- De ne pas dire au Comte un mot de l'aventure. v.300 (Acte , scène 6, TYL)
- Et tes serments sont sûrs ? v.305 (Acte , scène 6, TYL)
- Et maintenant, comment ça va-t-il, cher Van Bock ? v.306 (Acte , scène 6, TYL)
- Je te jouais. C'est bien amusant. v.308 (Acte , scène 6, TYL)
- Parbleu ! Je te ferai brûler comme un païen. v.314 (Acte , scène 6, TYL)
- Comment t'y prendras-tu, si tu restes vissé ? v.317 (Acte , scène 6, TYL)
- Ne me poussera guère à te délivrer. v.321 (Acte , scène 6, TYL)
- Tu crois que j'oserais te maltraiter ? v.322 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Cette noble fureur... v.326 (Acte , scène 6, TYL)
- Tiens, bois cette rasade ! v.328 (Acte , scène 6, TYL)
- Du Comte ! v.330 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Certes ! v.335 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- L'aimable découverte ! v.336 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Les yeux, j'inventerai quelque rêve charmant, v.338 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Éblouissant, exquis, adorable, céleste, v.339 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Peste ! v.340 (Acte , scène 6, TYL)
- J'ai joué de la harpe avec Sainte-Cécile... v.348 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Et toi, qu'as-tu rêvé pendant ce temps ? v.349 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Il ne reviendra plus, tant il doit pour la terre v.351 (Acte , scène 6, TYL)
- Du comte. v.354 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je ne veux pas rester cloué sur cette chaise ! v.359 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Défais vite ce noeud, ou gare ! v.360 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Tu m'as fait oublier de croquer ce gâteau : v.361 (Acte , scène 6, TYL)
- Je te punis... v.362 (Acte , scène 6, TYL)
- Coquin ! Opprobre du château ! v.362 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Quelle est cette algarade ? v.363 (Acte , scène 7, LE COMTE)
- Il a bu deux bouteilles v.367 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- Je devrais te tirer les oreilles. v.368 (Acte , scène 7, LE COMTE)
- À nous deux, maintenant que je suis délivré ! v.374 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- Je te ferai payer... v.375 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- Vous me défendrez, Comte ! v.375 (Acte , scène 7, TYL)
- Quelle honte ! v.376 (Acte , scène 7, LA COMTESSE)
- C'est la faute de Tyl ! v.377 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- C'est la faute de Tyl ! v.377 (Acte , scène 7, LES HOMMES D'ARMES)
- Je te condamne... v.378 (Acte , scène 7, LE COMTE)
- Et tu fileras vers les terres de Cologne, v.379 (Acte , scène 7, LE COMTE)
- Tout de suite. v.380 (Acte , scène 7, LE COMTE)
- Que vous me laisserez vous conter une histoire. v.384 (Acte , scène 7, TYL)
- Conte. v.385 (Acte , scène 7, LE COMTE)
- Comte vous-même ! v.385 (Acte , scène 7, TYL)
- Je te l'offre. Je t'ai berné mal à propos. v.398 (Acte , scène 7, TYL)
- Merci. Je te pardonne. v.399 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- En route ! v.399 (Acte , scène 7, TYL)
- Toi, tu vas chez Goton me payer ma choucroute ! v.400 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- Je le ferai rentrer au château d'Heverlé, v.402 (Acte , scène 8, LE COMTE)
- Douze docteurs de l'Université v.406 (Acte , scène 8, UN PAGE)
- Vous êtes, Monseigneur, un moderne Alexandre : v.434 (Acte , scène 9, 1er DOCTEUR)
- La litote a du bon v.442 (Acte , scène 9, 10e DOCTEUR)
- J'ai soutenu la thèse v.442 (Acte , scène 9, 11e DOCTEUR)
- Timeo Danaos et dona ferentes. v.447 (Acte , scène 9, LES DOCTEURS)
- Les Gaulois adoraient le divin Teutatès. v.448 (Acte , scène 9, LES DOCTEURS)
- Je t'écoute. v.456 (Acte , scène 9, LE COMTE)
- Vous m'avez-banni sur les terres de Cologne : v.457 (Acte , scène 9, TYL)
- Après ? Je m'en souviens. J'aime les plantes rares. v.462 (Acte , scène 9, LE COMTE)
- Les vases étaient pleins de terre, Monseigneur. v.464 (Acte , scène 9, TYL)
- La terre avait été de Cologne apportée. v.465 (Acte , scène 9, LA COMTESSE)
- Les terres de Cologne. v.468 (Acte , scène 9, TYL)
- Ah ! Comte, vous riez ! v.468 (Acte , scène 9, TYL)
- Écoute. Je ne veux oublier le passé v.472 (Acte , scène 9, LE COMTE)
- Qu'après t'avoir ouï sans tournure suspecte v.473 (Acte , scène 9, LE COMTE)
- Répondre aux questions de ces docteurs. v.474 (Acte , scène 9, LE COMTE)
- J'accepte. v.475 (Acte , scène 9, TYL)
- Pour contenir la mer ? v.476 (Acte , scène 9, 1er DOCTEUR)
- Il en faudrait six cents millions trente mille v.477 (Acte , scène 9, TYL)
- Huit cent quarante-deux. Il est d'ailleurs facile v.478 (Acte , scène 9, TYL)
- Les fleuves, les ruisseaux, et qu'à compter après. v.480 (Acte , scène 9, TYL)
- Le docteur est pincé ! v.482 (Acte , scène 9, NICOLAS)
- Qu'il répondra moins bien à cette question... v.483 (Acte , scène 9, 2e DOCTEUR)
- Où donc est le milieu de la terre ? v.488 (Acte , scène 9, 4e DOCTEUR)
- Où vous êtes. J'attends que l'un de vous mesure v.489 (Acte , scène 9, TYL)
- Ceci vous représente un étang, des bouleaux, v.492 (Acte , scène 9, TYL)
- Sur cette toile-là j'ai peint une bataille ! v.494 (Acte , scène 9, TYL)
- Je te romprai les reins. v.498 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Je te rends ton chapeau. v.499 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Une bonne choucroute, un jambon enfumé, v.504 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- On m'a mis à la porte en me traitant de fou... v.508 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Certes ! v.509 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Pan, pan. Voici comment j'ai fait... en pure perte ! v.510 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Comte, il faut gracier l'espiègle. v.515 (Acte , scène 10, LA COMTESSE)
- Bon coeur et tête folle ! v.517 (Acte , scène 10, LA COMTESSE)
- À rester dans mon coin, à ne plus jamais rire v.521 (Acte , scène 10, TYL)
- Cette fois, je t'admire ! v.522 (Acte , scène 10, NICOLAS)
- Et maintenant, rends-moi ton chapeau. Je caresse v.525 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Ce serait amusant. Diable ! Je suis tenté. v.528 (Acte , scène 10, TYL)
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CENDRILLON (1906)
- Crois-tu qu'à ma toilette il manque quelque chose ? v.4 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Dis-moi, serai-je un peu la reine de la fête ? v.7 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Dis-moi, remarque-t-on mes dentelles ? v.8 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Coquette ! v.8 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Coquette, c'est parfait ; mais laissons là ce point : v.9 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- J'adore tes cheveux dans ces noeuds de rubans. v.13 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Et ta robe m'enchante avec ses plis tombants. v.14 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Dans le septième ciel ta grâce me transporte. v.15 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Ton sourire est charmant de la sorte. v.16 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Si tu n'étais ma soeur, je te jalouserais. v.17 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Si tu n'étais ma soeur, je te détesterais. v.18 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Comme son fol orgueil lui fait perdre la tête ! v.19 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Dieu ! Quelle vanité, cette pauvre Frisette ! v.20 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Elle a sans doute cru qu'on est en carnaval. v.22 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Je le disais aussi, ma chère, pour ton compte. v.27 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Quelqu'un monte. v.28 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Quand on est Cendrillon, on reste dans ses cendres. v.32 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Tu n'es qu'un ver de terre, et sans nous... v.35 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Maintenant que la mort d'une mère nous laisse v.39 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Libres de te traiter sans stupide faiblesse. v.40 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Vous me haïssiez moins quand j'étais plus petite. v.43 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Une hypocrite ! v.44 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Est-ce ma faute à moi si votre mère un jour v.45 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Que pour subir l'assaut de toutes les douleurs ; v.49 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Et mes printemps étaient plus tristes que la tombe. v.51 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Tendre petit Saint-Jean prêchant hors du désert ! v.53 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Moi, j'ai longtemps vécu sans fêtes, sans dimanches. v.55 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Des chênes paternels qui sont les dieux des bois. v.57 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- À la hâte, en passant, quand le givre et la neige v.59 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Pas de mère au doux front pour me tendre la main ! v.61 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- En attendant, retourne en bas. v.68 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Comme mon triste coeur s'emplirait de soleil, v.70 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- À la fête du prince. Il doit être si doux v.74 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- De regarder, parmi les splendides toilettes, v.75 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Les hauts lambris dorés flamboyer sur les têtes ! v.76 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Et nous conte cela tout naturellement ! v.78 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Est-ce qu'on vit jamais les soubrettes admises v.79 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Sur ce, nous saluons humblement Votre Altesse. v.83 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Triste enfant que je suis ! Les cruelles s'en vont v.85 (Acte 1, scène 3, CENDRILLON)
- Sans se douter, hélas ! Du mal qu'elles me font. v.86 (Acte 1, scène 3, CENDRILLON)
- Tu ne franchiras pas, te dis-je, cette porte. v.118 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Je la franchirai, dis-je, et le diable t'emporte ! v.119 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Je vais te châtier. v.120 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Qui s'obstine à monter jusqu'ici. v.126 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Sotte fille à damner un concierge ! v.131 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Je grelotte. v.133 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Et maintenant dis-moi, portier, si je me venge, v.182 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- En quelle bête il va falloir que je te change. v.183 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Que si je te disais : « Sois un pigeon pattu !... » v.185 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Je puis, en baissant ma baguette, v.186 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- D'une laine touffue habiller ton squelette, v.187 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- T'allonger le visage en museau, te planter v.188 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Deux cornes sur le front ou te précipiter, v.189 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Je puis te faire, en deux secondes, v.191 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- C'est juste. v.201 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- C'est la faute à ce chien de métier. v.204 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Dont tu dédaignerais les plaintes étouffées v.210 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- N'ont pas tous, comme moi, la baguette des fées ! v.211 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Écoute, Cendrillon. L'été dernier, à l'heure v.214 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
- Je te vis entr'ouvrir lentement ta croisée, v.219 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Pâle et le front penché sur tes volubilis v.220 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Tu rêvas, très longtemps, aux bruits confus de l'ombre. v.222 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Te contemplaient, charmés, eux qui jettent des charmes ! v.226 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Puis, tu pleuras. Alors je recueillis tes larmes, v.227 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Je compris tes sanglots, j'accusai le destin ; v.228 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Et, depuis cette nuit, je pense à toi, mignonne : v.230 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Je t'apporte, ce soir, le bonheur et la paix. v.233 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
- Quoi ! Je ne serai plus Cendrillon la pauvrette ? v.234 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Par les prés où fleurit la blanche pâquerette, v.235 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
- Par le dôme éternel qui s'arrondit sur nous, v.236 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Par le clapotement des flots sur les cailloux, v.237 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Par la fuite du gnome au lever de l'aurore, v.243 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Par les monts, par les bois, par ma baguette enfin, v.245 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- J'ordonne qu'à l'instant où cette main s'abaisse v.246 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- D'où me vient, dites-moi, la robe que voici ? v.249 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Les jolis bracelets ! Quelles fines dentelles ! v.250 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Je comprends maintenant les contes que j'ai lus : v.252 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- La fée Urgèle existe, et Cendrillon n'est plus ! v.253 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Comme je tomberai de toute ma hauteur, v.256 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Quand je m'éveillerai de ce rêve enchanteur ! v.257 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- M'a dit que l'on attend Cendrillon. Du vinaigre ! v.272 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Voici. Je crois que quelques gouttes... v.275 (Acte 1, scène 6, CENDRILLON)
- Ces gouttes font du bien. Si je les buvais toutes ? v.276 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Comme si l'on tentait d'y faire une ouverture. v.283 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Sort de la fente et court s'aligner sur deux files, v.287 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Un grand diable de rat lui présente un bâton : v.290 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Il le saisit et prend la tête de la bande. v.291 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Tous emboîtent le pas au chat qui les commande v.292 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Maître Chat monte au siège et fait bonne figure. v.299 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Le régiment des rats s'attelle à la voiture. v.300 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Me dit : « Ô porte-clés, va-t'en chez Cendrillon v.302 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Annoncer, sans tarder, que sa voiture est prête ! » v.303 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Le nègre disparaît. Je me gratte la tête, v.304 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Je gravis l'escalier et je vous conte tout. v.306 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- T'asseoir comme tes soeurs à son banquet de fête ? v.311 (Acte 1, scène 6, LA FÉE URGÈLE)
- Eh bien ! Vole au palais, sans que l'on t'inquiète. v.312 (Acte 1, scène 6, LA F?E URG?LE)
- Plus prompte que le vent, revenir sous ces toits ; v.314 (Acte 1, scène 6, LA F?E URG?LE)
- Cette enfant me séduit. v.317 (Acte 1, scène 6, LA F?E URG?LE)
- Maintenant, à nous deux ! v.319 (Acte 1, scène 7, LA FÉE URGÈLE)
- N'en viderais-tu pas encore une bouteille ? v.324 (Acte 1, scène 7, LA FÉE URGÈLE)
- Si tu te sens de taille à garder le silence v.327 (Acte 1, scène 7, LA FÉE URGÈLE)
- Si je le garderai ? Madame, en doutez-vous ? v.329 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Le quatrième, affreux ! une dame y pianote, v.343 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Et c'est pendant des mois entiers la même note ! v.344 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Pour conter aux voisins, ravis d'ouïr médire, v.347 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- La grande Virginie emprunte à sa tailleuse. v.352 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Ainsi tu te tairas sur les faits de ce soir ? v.353 (Acte 1, scène 7, LA FÉE URGÈLE)
- Souviens-toi que j'aurais pu te changer en bête, v.355 (Acte 1, scène 7, LA FÉE URGÈLE)
- Rien qu'en touchant ton front du bout de ma baguette, v.356 (Acte 1, scène 7, LA F?E URG?LE)
- Et que si maintenant ta langue remuait, v.357 (Acte 1, scène 7, LA F?E URG?LE)
- Sans pitié, sur le coup, je te rendrais muet ! v.358 (Acte 1, scène 7, LA F?E URG?LE)
- Que vois-je sur cette table ? v.373 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Examinons l'étiquette : v.378 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Comme un concierge en goguette v.380 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Et comme je suis tenté ! v.384 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Je vide cette bouteille, v.385 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Ce n'est pas étonnant qu'il n'ouvre pas la porte, v.388 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- Que boit-il de la sorte ? v.389 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- - Si je détiens ce litre en attendant qu'on l'ôte, v.396 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- C'est ma faute - ma faute - et ma très grande faute ! - v.397 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Et puis, ce vin avait une couleur si nette ! v.400 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Je n'avais pas l'esprit en plein dans son assiette, v.401 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Sans doute. v.404 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- On verra bien. Parlez, et vite. v.405 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- On vous écoute. v.405 (Acte 1, scène 9, MAGALI)
- Si pour raconter ça ma langue remuait ! v.407 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- On écoute toujours, concierge. v.409 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- Si vous vous obstinez de la sorte à vous taire. v.412 (Acte 1, scène 9, MAGALI)
- Je parle. Cette nuit, v.414 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Allez-vous préférer qu'on vous mette en prison ? v.419 (Acte 1, scène 9, MAGALI)
- Ma pauvre langue ! Elle est dé-déjà moitié morte ; v.420 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Qu'importe ? v.421 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- Fait en si peu de temps muet comme cela ? v.427 (Acte 1, scène 10, CENDRILLON)
- Mes pieds sur des tapis tout constellés de roses v.429 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- À deux pas de mes soeurs, en ce vaste palais ! v.430 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- J'assistais à la fête. On attachait sur moi v.435 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- A courir ; mais je perds en route ma pantoufle ; v.441 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Maître chat disparaît, et sans fleurs, sans toilette, v.444 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Cendrillon redevient Cendrillon la pauvrette. v.445 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Cette nuit, tout le temps qu'a duré notre absence ? v.448 (Acte 1, scène 12, FRISETTE)
- Et que cette princesse au long voile éclatant v.454 (Acte 1, scène 12, CENDRILLON)
- Me ressemblait un peu, bien qu'elle eût l'air content. v.455 (Acte 1, scène 12, CENDRILLON)
- Elle te ressemblait ? L'histoire est adorable. v.456 (Acte 1, scène 12, FRISETTE)
- Petite laideron ! v.458 (Acte 1, scène 12, FRISETTE)
- Et maintenant, bourgeois, manants, vous tous, sachez v.498 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- M'a promis le retour de la petite reine. v.500 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- « Celle qui, cette nuit, seule aura réussi v.514 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Te mettre sur les rangs ? v.525 (Acte 1, scène 13, FRISETTE)
- Petite, et pourquoi donc ne t'approches-tu pas ? v.526 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Et Cendrillon confond Frisette et Magali. v.534 (Acte 1, scène 14, LA FÉE URGÈLE)
- Elles protègent ceux qui leur tendront la main v.538 (Acte 1, scène 14, CENDRILLON)
- Mais, au fait, c'est passé : je parle maintenant. v.549 (Acte 1, scène 14, LE PORTIER)
- Cendrillon est peu faite aux vanités du trône, v.555 (Acte 1, scène 14, CENDRILLON)
- Que toute haine soit en amour convertie ! v.559 (Acte 1, scène 14, LA FÉE URGÈLE)
LA BOITE A MUSIQUE (1906)
- « À quoi bon chanter le manoir, v.1 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Que ces vers-là sont doux ! Plus je me les répète, v.5 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Plus je sens que mon coeur est celui d'un poète. v.6 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- À trouver le mot juste, à rimer sans secousse, v.10 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Au grand concours de vers qui doit cette semaine v.17 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Ah ! mon pauvre cerveau, l'on te farcit de thèmes ! v.21 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Je suis poète ! v.24 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- « À quoi bon chanter le manoir, v.31 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Une guitare ! Ô Ciel ! Ô touchante merveille ! v.35 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- À tes pieds, devant toi, v.38 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Depuis quand êtes-vous malade, mon ami ? v.41 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Non, je vous le répète. v.43 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Pourquoi disiez-vous donc que vous êtes poète ? v.44 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- C'est juste. v.55 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Je suis poète ! v.60 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Mais, dites-moi, pourquoi vous cacher de la sorte ? v.63 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Certains auteurs latins racontent... v.64 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Peu m'importe. v.64 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Racontent qu'on a vu quelquefois sans façon v.65 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Des nymphes conseiller des poètes. v.66 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Je suis une chanteuse errante. C'est la faim v.69 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- On m'écoute, et l'on m'aime, et les petits enfants, v.73 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Me font de leurs bras ronds une charmante chaîne. v.75 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Et si l'on m'aime un peu, vite j'aime beaucoup. v.78 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Là les mots chantent mieux dans la langue des hommes v.84 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Mon père est un seigneur pensif dans son château, v.85 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Et je revois le lac, les vignes, le coteau. v.86 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Et je songe, et mon coeur palpite. Puis, adieu v.89 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Les vignes, le château, ma mère et le lac bleu ! v.90 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Je vais, je vais toujours ; mais la route m'égare, v.95 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Dites-moi maintenant qui vous êtes. v.98 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Voilà plus de trente ans que j'avons ce bon maître, v.103 (Acte 1, scène 2, NOÉMIE)
- Il ne chante jamais. Raisonnons, s'il vous plaît. v.105 (Acte 1, scène 2, NO?MIE)
- Pauvrette, mon enfant, je ne connaissions point v.109 (Acte 1, scène 2, NO?MIE)
- C'était du temps perdu. v.114 (Acte 1, scène 2, GEORGES)
- Restez donc. v.119 (Acte 1, scène 2, NOELLIE)
- Ma victoire s'apprête. v.119 (Acte 1, scène 2, GEORGES)
- C'est bien. Vous, mon enfant, croquez cette galette. v.120 (Acte 1, scène 2, NOÉMIE)
- Vous êtes bonne, bonne, et mon coeur s'y connaît. v.121 (Acte 1, scène 2, NOELLIE)
- Tenez, embrassez-moi, vous êtes un trésor. v.129 (Acte 1, scène 3, NOÉMIE)
- La perte de sa fille a troublé sa raison. v.134 (Acte 1, scène 4, NOÉMIE)
- Qui donc a fait de moi, Comte_d'Artème, v.135 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Et sur moi maintenant il souffle un vent si fort v.138 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Écoute, v.139 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Petite. D'où viens-tu ? N'as-tu pas sur ta route v.140 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Gazouille, chante, rit, jase avec les passants. v.142 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Pour ne pas le troubler, tenons-nous à l'écart. v.145 (Acte 1, scène 4, NOÉMIE)
- Que grande est ma pitié pour ce triste vieillard ! v.146 (Acte 1, scène 4, NOELLIE)
- Elle chantait déjà, toute petite encore, v.148 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Et de tout temps on l'a chantonné pour l'enfance v.151 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Puisque nous voilà seuls, viens et répète-moi v.157 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Berce-moi lentement de ta voix mécanique ! v.160 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Éléonore ! Elle est vivante et me sourit. v.161 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Je l'entends, je la vois au fond de mon esprit : v.162 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Mon enfant, ma Nono, reste sur mes genoux ; v.166 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Laisse mes doigts glacés caresser tes doigts roses ; v.167 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Mais tu ne chantes plus. Dormirais-tu, bébé ? i v.169 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- La tempête est venue et le vent m'a courbé. v.170 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Ferme tes jolis yeux : de même dans ses voiles v.171 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Bravo, Monsieur_le_Comte ! Il paraît que la mousse v.175 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Mais, soit dit franchement, je crois que j'aurais honte v.179 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- De me coucher dans l'herbe, étant Monsieur_le_Comte. v.180 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Que la terre te soit légère, ô pauvre fou ! v.181 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- iens, quelle est cette boîte ? On dirait un joujou. v.182 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Au fait, qu'est le vieux comte ? Un enfant qui s'amuse, v.183 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Une boîte ! À quoi donc ce ressort-là sert-il ? v.185 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Pressons-le lentement : il faut que je m'explique... v.187 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- La honte dans le coeur, la rougeur sur la joue, v.192 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Dans mes indignes mains la boîte où vous voilà. v.194 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Sur moi, pauvre mortel, déchaîne sa furie ? v.196 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Dormez, et, comprenant que ma prière est juste, v.199 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Ne faites plus ce bruit dans votre boîte auguste ! v.200 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- A cette boîte-là fait ses dévotions. v.206 (Acte 1, scène 7, NOÉMIE)
- Il m'a semblé que j'ai tout à l'heure entendu v.209 (Acte 1, scène 7, NOELLIE)
- Entendu... v.213 (Acte 1, scène 7, NOELLIE)
- Qu'avez-vous entendu, mon enfant ? v.213 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- Tu pleures, ma pauvrette ? v.219 (Acte 1, scène 7, NOÉMIE)
- Appelez-le papa tout de suite. Bonsoir ! v.222 (Acte 1, scène 7, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Qu'elles vont à leur tour faire chanter le diable. v.224 (Acte 1, scène 7, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Pourquoi monsieur le garde a dit tant de Pater v.226 (Acte 1, scène 8, NOÉMIE)
- Si c'est une amusette v.227 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Pour les vieux qu'a battus une longue tempête, v.228 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Été si loin du comte ! On aurait pu savoir... v.230 (Acte 1, scène 8, NOÉMIE)
- Je devinons cela ; mais je n'entendons bien v.233 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Si tu trouves, boîte gentille, v.235 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Reste dans sa petite main ! v.238 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Ainsi, garde la boîte : elle est à toi, mignonne. v.239 (Acte 1, scène 8, NOÉMIE)
- Qui s'en va sans appui, sans feu, sans pain, sans gîte ? v.243 (Acte 1, scène 8, NOÉMIE)
- N'as-tu pas, dis-le-moi, la main toute petite ? v.244 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Et cette boîte-là, ramassée en chemin, v.245 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Ne peut-elle rester dans ta petite main ? v.246 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Le hasard se conduit avec intelligence, v.247 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- J'hésite. v.249 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Halte ! je verbalise ! v.252 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Que nous chantez-vous donc ? v.253 (Acte 1, scène 9, NOÉMIE)
- Qu'ai-je encore entendu ? v.253 (Acte 1, scène 9, LE COMTE)
- Dérobant lestement, - d'une façon très claire - v.264 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- A monseigneur le comte - assoupi doucement v.265 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- - Une boîte où le diable a pris un logement : v.266 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Sur ledit vol patent verbalisé ceci. v.269 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- A-t-on jamais oui des balivernes telles ! v.271 (Acte 1, scène 9, NOÉMIE)
- « Je constate qu'ayant - verbalisé d'icelles - v.272 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- J'ai subi de la part de ladite - un affront v.273 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Vous me répétez mal, monsieur le perroquet. v.277 (Acte 1, scène 9, NOÉMIE)
- Ah ! comme cette enfant est rieuse et jolie ! v.283 (Acte 1, scène 9, LE COMTE)
- Peste ! v.287 (Acte 1, scène 9, NOÉMIE)
- Décidez-vous à me rendre la boîte v.287 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Que sous ce tablier cache votre main droite. v.288 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Vous êtes inhumain ! v.289 (Acte 1, scène 9, LE COMTE)
- De toute sûreté. v.294 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Sans escorte v.299 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Je me porte v.300 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Sans escorte v.305 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Il me porte v.306 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- De tout temps ils ont volé ; v.321 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- De tout temps ils ont volé ; v.327 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Chantent comme des sourds. v.332 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Au goulot des bouteilles v.337 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Je l'imite v.339 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Au plus vite, v.340 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Il l'imite v.345 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Au plus vite, v.346 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Ah çà, vous sentez-vous, en jouant de vos flûtes, v.351 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- D'aller jusques à Brive en quatorze minutes, v.352 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- M'apporter sa réponse ? On m'a dit qu'il demeure v.356 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Comptez-y. v.365 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Maintenant je pars comme un éclair. v.365 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- De ternir, d'effleurer d'une main peu discrète v.367 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Ce papier qui contient ma gloire de poète, v.368 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Et, comme mon succès mérite d'étonner, v.369 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Ne dites pas enfin qu'on va me couronner. v.370 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Chanteur en plus ! v.374 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Eh bien, si vous l'osez, plaisantez maintenant ! v.382 (Acte 1, scène 11, GEORGES)
- Le comte, mon époux, en vous voyant oublie v.384 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Elle ne voudra pas attrister Monseigneur. v.386 (Acte 1, scène 12, NOÉMIE)
- Prête, pour dissiper l'ennui de votre époux, v.389 (Acte 1, scène 12, NOELLIE)
- Ainsi qu'une moitié vivante de moi-même. v.392 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Nous nous raconterons nos souffrances, tout bas. v.393 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Subir le froid, lutter contre la faim sans doute v.395 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Et meurtrir tes pieds nus aux cailloux de la route. v.396 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Prenons vite une pose. v.397 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Madame_la_Comtesse et vous, maman, excuse ! v.400 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Te mettra quelque jour la cervelle à l'envers. v.402 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- Qui voudrait te pousser dans la mathématique ; v.404 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- Que rapporte cela ? Fils, je te le demande, v.407 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- Va, va, nous te verrons mourir à l'hôpital. v.410 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- On a fait cette histoire à tous les grands génies. v.411 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Mon petit, sont-ce là de tes rimes ? v.413 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Des vers à peine éclos, jetés sur cette feuille, v.415 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Dans la crainte du jour y demeurent cachés. v.418 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Du comte cette boîte. v.430 (Acte 1, scène 13, PREMIÈRE PAYSANNE)
- J'allais faire un discours : ma cravate me gêne ; v.436 (Acte 1, scène 13, BRIDANON)
- Permettez-moi d'abord de donner cette lettre v.439 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Tenez, lisez ceci qui peut-être est moins mal. v.449 (Acte 1, scène 14, MADAME BRIDANON)
- Et moi, moi, ma petite amie ? v.474 (Acte 1, scène 14, NOÉMIE)
- Mais ce diable a si bien dénoué toutes choses v.478 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Monsieur Georges, pourquoi cette musique-là v.480 (Acte 1, scène 14, PAYSANS, PAYSANNES)
- A-t-elle donc si vite amené tout cela ? v.481 (Acte 1, scène 14, PAYSANS, PAYSANNES)
- Je vous le conterai demain. Pour le quart_d_heure, v.482 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
- Un poète ne doit pas « chanter le manoir » ! v.485 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
UNE NUIT DE MOLIÈRE (1879)
- Guerre aux bêtes qui sont dans l'homme ! Tout l'enfer v.3 (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
- Bravo ! J'aime à tenir à l'étroit dans mes rimes v.5 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Le scélérat heureux et l'hypocrite vil, v.7 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Qu'ils vous ont faite au coeur ! Ne la leur laisser voir v.11 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Où l'on écoute en soi quelque chose qui pleure ! v.18 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Le jeter tout vivant ensuite sur la scène, v.21 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Je suis ma propre honte et ma propre ironie ! v.26 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- C'est toute la douleur dont mon âme est remplie, v.29 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- C'est ma tristesse avec un masque grimaçant ! v.31 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Alceste a comme moi l'humeur fantasque et fière ; v.34 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Et j'ai fait de Tartuffe un hypocrite, hélas ! v.36 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Palsambleu ! Je les hais d'une robuste haine, v.41 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Qui mettent leur esprit dans un jabot plissé, v.44 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Présenter leurs respects aux dames du ballet, v.52 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Avant le deuxième acte, un pauvre Sganarelle v.57 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Pourquoi ne pas vouloir être, ô coquette Armande, v.61 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Qui sourit au poète en lui tendant la main ? v.63 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- L'amour ne peut-il pas persister dans l'hymen ? v.64 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- En détournant les yeux de mon oeuvre immortelle : v.69 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Je sentais tout mon sang me monter à la face, v.73 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Ô peuple fraternel, si doucement moqueur, v.80 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Que t'importent les maux, si ton malheur te sert ? v.99 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Puisqu'un grand nom s'achète au prix de la souffrance, v.101 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Que n'ai-je eu le destin d'un mortel ignoré ! v.102 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Tu le mens à toi-même, ô poète inspiré ! v.103 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Vous êtes tous pétris dans une même argile ; v.104 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Vous redoutez la mort, vous craignez l'inconnu, v.105 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Vous êtes stupéfaits devant un glaive nu v.106 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Afin de conquérir dans les luttes humaines v.110 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Celle qui consola la première tristesse, v.119 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Ô poète oublieux, ce fut encore moi ! v.120 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je t'appris à chanter les douleurs de ton être ; v.122 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je me penchai sur toi, je te pris par la main v.126 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Quand tu te fus lavé dans ses ondes divines, v.130 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Tu regardas ton ombre et tu te trouvas grand ! v.131 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Pendant que tu rêvais, je tendis sur la lyre v.132 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Le vent portail au ciel l'âme errante des fleurs. v.135 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je te reconnais trop, ô Muse impitoyable ! v.136 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- J'ai fait encore plus, poète : j'ai foulé v.138 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Tes chimères d'amour comme des grains de sable ; v.139 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Dans le gouffre éternel j'ai moi-même jeté v.142 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- La clé d'or qui t'ouvrait les portes d'or du rêve. v.143 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Tu te serais courbé sous le vent de mon aile v.149 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Tu douterais des Dieux, de ta mère et de toi. v.153 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Si le bonheur existe et si tout n'est pas vide, v.154 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Le souvenir du moins devrait s'éteindre en moi. v.155 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- J'ai fécondé tes maux. v.158 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Eh ! Que m'importe à moi que mon siècle me nomme, v.162 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Si je suis malheureux, si je suis triste et seul ? v.163 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Tel que le sang de l'homme aux lèvres des blessures : v.166 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Ô poète, la gloire et le vin sont pareils ! v.167 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- L'espoir est éternel, les regrets n'ont qu'un jour. v.173 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Cette femme, vois-tu, je l'aime ! Elle est si belle v.174 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Une petite fée au rire triomphant, v.182 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Je mis toute ma gloire, hélas ! à ses genoux : v.184 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Je travaillais, courbé sur mon oeuvre éternelle : v.188 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Elle ne rêva plus qu'aux fêtes de la Cour, v.192 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Je suis ta grande amante et j'arrive à mon tour. v.209 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Puisque mon triste coeur n'a plus le droit de croire, v.216 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Muse, raconte-moi quelle sera ma gloire v.218 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Ta gloire éblouissante ira jusqu'aux étoiles v.222 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Quelqu'un de tes sanglots, quelqu'un de les tourments. v.227 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Tu seras le soldat et l'apôtre du juste, v.228 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Et les comédiens couronneront ton buste v.230 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Dans le recueillement des peuples prosternés. v.231 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Des poètes viendront, des poètes sublimes ! v.232 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Lui dictera le chant doux et mélancolique, v.237 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Fera flotter sur Faust, étonner de revivre, v.247 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- L'amour de Marguerite et l'aile des démons. v.248 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Lamartine, aux accords d'une vivante lyre, v.249 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Ira sur les lacs bleus chanter le nom d'ELvire v.250 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Musset aux jeunes gens contera ses douleurs v.256 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Il chantera la grâce auguste de la femme, v.263 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Il interprétera l'énigme de la mort v.267 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Et pendant soixante ans, pâle visionnaire, v.268 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Battre au moins pour la gloire, ô Molière, ô poète ! v.272 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Pleure, si tu le veux, mais relève la tête ; v.273 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je te le disais bien : la gloire n'est qu'un nom ; v.277 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- J'accepte mon destin, tel que l'ont fait les dieux. v.279 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Poète, prends la plume et travaille ! Ma main, v.283 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- En tendant cette plume à ta main créatrice, v.284 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Et tient en quelque sorte un morceau de justice. v.286 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Regarde : on la dirait vivante comme toi ! v.290 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Et maintenant debout ! Fais parler ton génie, v.292 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je t'ai sacré poète au nom de la douleur ! v.294 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Reprends le fil doré de tes pantins vivants, v.296 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Tes faux dévots, tes faux marquis, tes faux savants ! v.298 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
LA MAISON DES DIMANCHES (1906)
- Parce que ce château, vieux débris du passé, v.5 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Qu'ils sont naïfs ceux-là qui croient qu'une bouteille v.11 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Parce qu'elle est logée au fond d'un château fort, v.13 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Noir comme ses corbeaux, triste comme la mort ! v.14 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Vous ne m'entendez pas : v.21 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Faites encore un pas, v.22 (Acte 1, scène 1, RENÉ)
- Voilà comme on accueille un vin de quarante ans, v.25 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Qui ressusciterait un mort des anciens temps v.26 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Et ferait en plein air tituber son squelette ! v.27 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Ah ! si mon fils René, qui, sur un coup de tête, v.28 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Se trouvait comme vous là, dans cette guérite, v.31 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Certes de ma bouteille il s'approcherait vite. v.32 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Qui doit faire à cette heure un parfait militaire... v.35 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Dites encore un mot, et je fais feu. v.39 (Acte 1, scène 1, RENÉ)
- Et que, muet, drapé dans ma capote grise, v.43 (Acte 1, scène 1, RENÉ)
- La fuite de René rend mes gaîtés moins franches. v.47 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Je reviens habiter ma maison des dimanches : v.48 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- C'est parfait : nous savons que tu chantes comme une v.75 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Fauvette chante au bois, la nuit, au clair de lune ; v.76 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- On prétend au village v.92 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Rougir ? Rougir de quoi ? Faites-moi le plaisir v.94 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Bien close, entre ces murs d'un château fort très vieux, v.97 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Fanny n'est plus ! je suis marquise et châtelaine ; v.99 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Un petit page tient ma pelote de laine ; v.100 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Commentent le blason de ma race, et j'oublie v.104 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Ma petite maison sans foyer et sans toit v.105 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Croyez moins à mon coeur, conseiller de ma tête, v.111 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Et faites-moi plus vite embrasser Henriette ! v.112 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- La voici juste avec madame Valentin : v.113 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Je te quitte. v.114 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Le temps est très beau ce matin : v.114 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Sortez-vous du château ? v.115 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Je vous quitte, madame. v.115 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Mes respects, châtelaine. v.120 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Cette chère Fanny ! v.121 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
- On aime à visiter sa maison du dimanche ! v.124 (Acte 1, scène 3, MADAME VALENTIN)
- À cause des bons coeurs qui l'habitent. v.125 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Que chante ce soldat ? v.127 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Il ne s'attend à rien. v.133 (Acte 1, scène 3, MADAME VALENTIN)
- Notre petit complot : le temps marche à grands pas, v.162 (Acte 1, scène 3, MADAME VALENTIN)
- Et dont le bras dompta trente rébellions. v.177 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- « Je vise qui m'atteint, et j'atteins qui me vise ! » v.180 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Charmante folle, va ! v.185 (Acte 1, scène 3, MADAME VALENTIN)
- Introduit dans le drame, écoutez, comme il sied, v.186 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
- Les ordres que je donne aux gens de mon escorte. v.187 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
- Ma mère et vous, mon frère, entrez par cette porte, v.188 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
- Mais pendant ce temps-là, qui montera ma garde ? v.191 (Acte 1, scène 3, RENÉ)
- Une fois ce manteau sur mon front rabattu ? v.194 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- De prendre ce manteau pour aide et pour complice ? v.196 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Puis, il est d'une ampleur à m'envelopper toute : v.199 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Je monterai la garde, et l'on n'y verra goutte. v.200 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Que vous montez la garde ? v.204 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- De porter un fusil ? v.205 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Vous dites ? Palsambleu ! v.205 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- S'il allait éclater ! v.207 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Je te trouve un faux air de Bellone. v.208 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Allons donc ! chante pour t'aguerrir. v.209 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Eh bien ! cette chanson t'a-t-elle mis dans l'âme v.235 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Un peu de cette audace étrangère à la femme v.236 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Qui nous fait sans pâlir, sans nous épouvanter, v.237 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Embrasser un fusil qui pourrait éclater ? v.238 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Parlons alors sans crainte, ouvrons-nous notre coeur. v.241 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Moi, je prends, pour t'entendre, un petit air vainqueur ! v.242 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Dans cette forteresse, après chaque semaine. v.244 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Ce château n'était pas encore une prison, v.249 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Laissaient circuler l'air et flotter la lumière. v.251 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- L'orage qui grondait, terrible, autour de nous, v.253 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Nous fûmes nous blottir dans une cour déserte, v.255 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Tremblantes, au hasard, sur un lit d'herbe verte. v.256 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Sa tête s'incliner, son visage pâlir ; v.258 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Je pris la fuite, ayant senti frissonner l'aile v.259 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- De la mort qui planait, prête à fondre sur elle. v.260 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Comme il pèserait trop à tes mains enfantines, v.264 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Grande comme ta mère et que tes petits bras v.266 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- L'âme triste en ces lieux ! v.270 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- J'ai vécu bien longtemps loin de ces affreux murs ; v.273 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- N'ont pas fait à l'enfant que son destin emporte v.275 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Oublier ce château plein de sa mère morte, v.276 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Séparons-nous. J'entends un bruit de pas. v.281 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Docteur, v.281 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Hé ! Monsieur Rognelard ! Vous me fendez la tête. v.283 (Acte 1, scène 5, BONHOMME)
- Hé ! Monsieur le docteur ! Je suis un homme honnête, v.284 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Cette enfant est malade et chétive... v.286 (Acte 1, scène 5, BONHOMME)
- Mais, docteur, je vous jure v.287 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Chaussures, vêtements... Vous n'entendez donc rien v.289 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Je les entends très bien. v.290 (Acte 1, scène 5, BONHOMME)
- Ô falsificateur patenté du légume ! v.296 (Acte 1, scène 5, HENRIETTE)
- Te crands andiguidés ? v.302 (Acte 1, scène 6, FINOT)
- Moi che temante à foir Tiane te Boidiers. v.305 (Acte 1, scène 6, LA VISITEUSE ALLEMANDE)
- La coulote del ré Dagobert ? v.307 (Acte 1, scène 6, LE VISITEUR ITALIEN)
- La houlette v.307 (Acte 1, scène 6, LE VISITEUR ESPAGNOL)
- Moa vouloir toucher la tête v.308 (Acte 1, scène 6, LA VISITEUSE ANGLAISE)
- De ce château... v.316 (Acte 1, scène 6, VALENTIN)
- Il a promis à nous une chose terrible. v.320 (Acte 1, scène 7, LA VISITEUSE ANGLAISE)
- Henriette ! v.322 (Acte 1, scène 7, RENÉ)
- Te blus vort en blus vort ! v.323 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Monsieur, on vous l'eût fait visiter à votre aise v.327 (Acte 1, scène 7, FANNY)
- Ce château fort et moi nous nous connaissons bien, v.330 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Interroger l'écho dans les rumeurs du vent ; v.334 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- J'avais une complice, et la petite Berthe v.335 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Partageait avec moi la moindre découverte v.336 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Tenez, ce mur... v.340 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Attention ! v.342 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- L'histoire est complète : v.343 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Qui donc a fourré là cette étrange cassette ? v.344 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Cette cassette : ils sont inébranlables, sûrs, v.346 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Mon frère Valentin, s'il vit, t'aimera certes v.351 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- À propos, vous qui faites v.355 (Acte 1, scène 7, VALENTIN)
- Pirouetter les murs et bâiller les cachettes, v.356 (Acte 1, scène 7, VALENTIN)
- Dites-nous, cher monsieur, à qui l'on a l'honneur... v.357 (Acte 1, scène 7, VALENTIN)
- Je suis tout simplement monsieur votre inspecteur. v.358 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Ce gaillard fait monter la garde par sa fille ! v.360 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Je lançais contre vous un terrible rapport ! v.362 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Te crands adrocidés ? v.366 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Ma cousine, un baiser sur vos menottes blanches. v.367 (Acte 1, scène 7, RENÉ)
- Et nous te garderons ? v.370 (Acte 1, scène 7, MADAME VALENTIN)
Dans les 1895 textes du corpus, il y a 5 textes (soit une présence dans 0,26 % des textes) dans lesquels il y a 685 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 137,00 occurences par texte.
n° | Titres | Acte | Acte 1 | Total |
1 | TYL L'ESPIEGLE | 168 | 0 | 168 |
2 | CENDRILLON | 0 | 154 | 154 |
3 | LA BOITE A MUSIQUE | 0 | 160 | 160 |
4 | UNE NUIT DE MOLIÈRE | 0 | 87 | 87 |
5 | LA MAISON DES DIMANCHES | 0 | 116 | 116 |
Total | 168 | 517 | 685 |